A 2850 m d'altitude, Quito est la plus haute capitale au monde. Nous vous rappelons que la capitale officielle de la Bolivie n'est pas La Paz (alt 3660 m) mais Sucre (alt 2790 m).
Nous faisons de belles visites du centre historique en nous réfugiant dans les églises et les musées au passage des averses.

Photo 2/17
La Basílica del Voto Nacional est la plus grande église néogothique d'Amérique du Sud.
Son architecte s'est inspiré de la cathédrale de Bourges.

Photo 3/17
Ne vous fiez à aucune des deux horloges car la photo a été prise à 10h30.

Photo 4/17
La statue en aluminium de la Vierge sur le mont Panecillo, vue du musée de la Ciudad.

Photo 5/17
Le théâtre Sucre.

Photo 6/17
La ville est bâtie sur les flancs du volcan Guagua Pichincha.

Photo 7/17
La Virgen del Panecillo domine le centre historique de Quito.

Photo 8/17
Quito détient le plus grand centre colonial historique (et le mieux préservé) de toute l'Amérique du sud.

Photo 9/17
Ce soir, foot entre la Colombie et l'Equateur. Le jaune, couleur de l'équipe nationale, est de rigueur.

Photo 10/17
Malgré le soutien de la population, le match se terminera par la victoire de la Colombie 3 contre 1.

Photo 11/17
Délicieux chirimoyas.

Photo 12/17
Les coupoles de l'église de la Compagnie de Jésus.

Photo 13/17
Concert matinal sur les marches de la cathédrale.

Photo 14/17
La façade de l'église de la Compagnie de Jésus.

Photo 15/17
L'église de La Merced (ordre religieux catholique).

Photo 16/17
Le cloître

Photo 17/17
La pierre tombale de Cantuña, indien mystérieusement enrichi qui participa au financement de la construction du couvent San Francisco.


       
La fin du voyage approche. L'Equateur est le 9ème et dernier pays de notre périple.

Photo 2/17
Le poste frontière entre la Colombie et l'Equateur est à près de 3000 m. d'altitude.

Photo 3/17
Pour atteindre Quito il nous faudra 4 jours pour avaler les 4577 m de dénivelé.
Nous utilisons Openrunner pour avoir le profil de la route. Cela nous permet de planifier nos étapes en fonction des hôtels que nous repérons à l'aide de Google Maps.

Photo 4/17
Autre outil très utile : le GPS qui nous évite d'avoir des cartes papier. Sur notre smartphone nous avons l'application Android osmand, gratuite et très performante.

Photo 5/17
Passage au point le plus haut de tout le voyage : altitude 3307 m. Le col n'a malheureusement pas de nom.

Photo 6/17
Monument en hommage aux grands cyclistes équatoriens.

Photo 7/17
Les Andes sont une jeune chaîne de montagnes comme en témoignent les vallées encaissées.

Photo 8/17
Nous traversons une alternance de plateaux agricoles et de zones arides.

Photo 9/17
Un canyon de plus qu'il nous faut franchir.

Photo 10/17
Sur les plateaux nous traversons de grandes zones urbaines. La route Panaméricaine que nous empruntons est une véritable autoroute, heureusement peu fréquentée.

Photo 11/17
Les indiennes d'Otavalo sont en tenue traditionnelle, peu de femmes sont habillées à la mode occidentale.

Photo 12/17
Les cuyes attendent le client. La buée sur la vitre est bienvenue pour que la vue de ces pauvres cochons d'Inde rôtis n'affecte pas vos âmes sensibles.

Photo 13/17
Les collégiens attendent sagement le ramassage scolaire.

Photo 14/17
A la sortie d'Otavalo nous apercevons le volcan Cerro Imbabura (4609 m).

Photo 15/17
Raquettes de cactus.

Photo 16/17
Josée en pleine action.

Photo 17/17
Un grand moment : le passage de la ligne équatoriale à vélo. L'Hémisphère Sud nous accueille.


       
Nous sommes sur le point de quitter la Colombie. Pour atteindre Ipiales notre route était bien montagneuse.

Photo 2/16
Belle route, confortable et pas trop fréquentée.

Photo 3/16
Région sèche et peu peuplée.

Photo 4/16
Les fonds de vallée sont à 800 m d'altitude, les sommets à plus de 4000 et la route passe à plus de 3000.

Photo 5/16
Les paysages sont grandioses.

Photo 6/16
La petite ville de Pedregal est au fond d'une vallée.

Photo 7/16
Pluie passagère.

Photo 8/16
Luis arrive de Santa Fé en Argentine avec son barda de 90 kg.

Photo 9/16
Carlo et Juan-Pablo se dirigent vers le Mexique.

Photo 10/16
Megane vise Ushuaïa. Nous rencontrons beaucoup de cyclo-voyageurs sur cette route
incontournable entre la Colombie et le reste de l'Amérique du Sud.

Photo 11/16
Beaucoup de camions sont équipés de ces chaînes avec une poignée au bout.
Est-ce pour que les cyclistes s'y accrochent ?

Photo 12/16
A Pasto, comme dans toutes les villes d'Amérique Latine, on prépare les processions de la Semaine Sainte.

Photo 13/16
Des milliers de pèlerins se rendent au Sanctuaire de Las Lajas. La plupart auront parcouru plus de 80 km en marchant jour et nuit. D'autres font la même distance à vélo.

Photo 14/16
Le sanctuaire de Las Lajas et ses milliers d'ex-votos.

Photo 15/16
Le style néogothique du sanctuaire est discutable mais il attire les pèlerins à l'occasion de la semaine Sainte.

Photo 16/16
L'église San Felipe d'Ipiales.


       
Merci à tous ceux qui nous ont apporté leur soutien moral suite à la tentative de vol que nous avons relaté dans l'article précédent. Pas d'inquiétude nous n'avons pas été traumatisé par l’événement, nous sommes juste un peu plus sur nos gardes.

Nous avons repris nos vélos et nous sommes maintenant en pleine montagne. Cette région des Andes n'est qu'une succession de côtes épuisantes. Nos étapes sont plus courtes que souhaitées, en partie à cause de la chaleur.

Photo 2/8
Avant de partir de Popayan, nous dégustons les spécialités locales : salpicon, empanadas, lulada, café au lait et tamalles.

Photo 3/8
Un peit tour chez le coiffeur.

Photo 4/8
Paysage de montagne... tropicale sèche, vraiment sèche.

Photo 5/8
Pause crevaison.

Photo 6/8
Production artisanale de panela : pain de sucre de canne. Sert à confectionner la boisson qui accompagne les repas.

Photo 7/8
Taxi 4x4 pour atteindre les villages desservis par des pistes. Un signe de croix au départ et tout devrait arriver à bon port.

Photo 8/8
Panneau routier interdisant la route aux moustiques.