La fin du voyage approche. L'Equateur est le 9ème et dernier pays de notre périple.
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| Le poste frontière entre la Colombie et l'Equateur est à près de 3000 m. d'altitude. |
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Pour atteindre Quito il nous faudra 4 jours pour avaler les 4577 m de dénivelé. Nous utilisons Openrunner pour avoir le profil de la route. Cela nous permet de planifier nos étapes en fonction des hôtels que nous repérons à l'aide de Google Maps. |
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| Autre outil très utile : le GPS qui nous évite d'avoir des cartes papier. Sur notre smartphone nous avons l'application Android osmand, gratuite et très performante. |
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| Passage au point le plus haut de tout le voyage : altitude 3307 m. Le col n'a malheureusement pas de nom. |
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| Monument en hommage aux grands cyclistes équatoriens. |
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| Les Andes sont une jeune chaîne de montagnes comme en témoignent les vallées encaissées. |
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| Nous traversons une alternance de plateaux agricoles et de zones arides. |
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| Un canyon de plus qu'il nous faut franchir. |
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| Sur les plateaux nous traversons de grandes zones urbaines. La route Panaméricaine que nous empruntons est une véritable autoroute, heureusement peu fréquentée. |
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| Les indiennes d'Otavalo sont en tenue traditionnelle, peu de femmes sont habillées à la mode occidentale. |
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| Les cuyes attendent le client. La buée sur la vitre est bienvenue pour que la vue de ces pauvres cochons d'Inde rôtis n'affecte pas vos âmes sensibles. |
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| Les collégiens attendent sagement le ramassage scolaire. |
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| A la sortie d'Otavalo nous apercevons le volcan Cerro Imbabura (4609 m). |
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| Raquettes de cactus. |
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| Josée en pleine action. |
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| Un grand moment : le passage de la ligne équatoriale à vélo. L'Hémisphère Sud nous accueille. |
Nous avons goûté les cochons d'inde grillés (nous les avons même choisis encore vivants !) Mais il n'y a pas beaucoup de viande, pas grand chose à manger. Bon ap' quand même. Marie-Paule
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